Les viticulteurs partout dans le monde ne produiront que 246,7 millions d'hectolitres (Mhl) de vin en 2017, contre 268,8 millions l'année précédente. La raison qui explique cette production aussi faible est simple : les aléas climatiques ont fait souffrir les principaux pays producteurs : avec 39,3 Mhl, la production italienne de vins chute de 23% d'une année sur l'autre. La France enregistre une baisse de 19% avec 36,7 Mhl ; quant à l'Espagne, le pays devra se contenter de 33,5 Mhl (-15%).
Les autres pays européens ne sont guère mieux lotis avec une chute de 10% pour l'Allemagne (8 Mhl), d'après les données de l'OIV. D'autres pays en revanche voient leur production progresser, comme le Portugal avec +10% (6,6 Mhl), la Roumanie (+64% à 5,3 Mhl) ou encore la Hongrie (+3%, 2,9 Mhl). Mais les volumes restent faibles alors que la consommation mondiale devrait s'établir entre 240,5 et 245,8 Mhl. Il faut remonter à 1991 (251,6 Mhl) et 1994 (249,4 Mhl) pour trouver des niveaux de production comparables à celui de cette année. On peut remonter à 1957 pour avoir une production mondiale encore plus faible (173,8 Mhl), mais le marché était structuré bien différemment.
Dans ce contexte, les vins du nouveau monde ont une carte à jouer. Aux États-Unis, la production devrait toutefois reculer de 1% à 23,3 Mhl. L'Amérique du Sud est en pointe, notamment l'Argentine avec une croissance solide de 25% avec 11,8 Mhl. Le Brésil présente bien également avec 3,4 Mhl (+169% !). L'Australie, autre important producteur de vins, enregistre une progression de 6% avec 13,9 Mhl. Enfin, l'Afrique du Sud affiche 10,8 millions d'hectolitres, soit 2% de plus par rapport à 2016.
Les autres pays européens ne sont guère mieux lotis avec une chute de 10% pour l'Allemagne (8 Mhl), d'après les données de l'OIV. D'autres pays en revanche voient leur production progresser, comme le Portugal avec +10% (6,6 Mhl), la Roumanie (+64% à 5,3 Mhl) ou encore la Hongrie (+3%, 2,9 Mhl). Mais les volumes restent faibles alors que la consommation mondiale devrait s'établir entre 240,5 et 245,8 Mhl. Il faut remonter à 1991 (251,6 Mhl) et 1994 (249,4 Mhl) pour trouver des niveaux de production comparables à celui de cette année. On peut remonter à 1957 pour avoir une production mondiale encore plus faible (173,8 Mhl), mais le marché était structuré bien différemment.
Dans ce contexte, les vins du nouveau monde ont une carte à jouer. Aux États-Unis, la production devrait toutefois reculer de 1% à 23,3 Mhl. L'Amérique du Sud est en pointe, notamment l'Argentine avec une croissance solide de 25% avec 11,8 Mhl. Le Brésil présente bien également avec 3,4 Mhl (+169% !). L'Australie, autre important producteur de vins, enregistre une progression de 6% avec 13,9 Mhl. Enfin, l'Afrique du Sud affiche 10,8 millions d'hectolitres, soit 2% de plus par rapport à 2016.